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Eglise Saint-Pierre

La 1ère fois que cette église a été mentionnée, c’est en 843. Incroyable, non ? Il s’agissait alors d’une petite église romane.

Ce qu’il en reste aujourd’hui ?

La tour-clocher, qui date du 12ème siècle et, côté porte latérale, une baie romane, aveugle. L’église telle que vous la voyez a été bâtie en 80 ans environ, sur les restes de cette toute première église : l’église primitive.

Comment en être si sûr ?

Les bâtisseurs de l’époque prenaient le temps de graver des dates sur certaines pierres. C’était un moyen pour témoigner de l’avancement des travaux et, en y gravant leur marque, la garantie d’être payés !

N’hésitez pas à faire le tour de l’église : ainsi, à l’angle nord-ouest, vous découvrirez la toute première pierre du chantier qui indique « 1606 Primera Pedra ». Et sur la façade principale, la toute dernière pierre : « 1686 ».

Vue de l’extérieur, plutôt austère, cette église, vous ne trouvez pas ?

Oui, plutôt, mais il existe un contraste frappant entre le dehors et le dedans. C’est à l’intérieur que vous trouverez la plus grande surprise, alors soyez curieux … entrez !

Il y a tellement de richesses qu’on ne sait où poser le regard : 14 chapelles en tout, positionnées de part et d’autre de la nef. Chacune est dédiée à un saint et recèle des mystères. Jetez un œil à l’orgue majestueux qui surplombe l’entrée principale de l’église… et admirez les peintures murales signées par Léo Polge en 1872…

Et découvrez le plus grand retable baroque de France !

Il n’attend plus que vous pour s’illuminer. Il suffit de glisser une pièce de 1€ dans le monnayeur, situé sur le pilier à gauche du retable.

Constitué de panneaux de bois assemblés entre eux et entièrement sculptés, c’est Josep Sunyer qui en fut le principal artisan. Secondé par son atelier, cet artiste sculpteur catalan a œuvré en Roussillon et créé des dizaines de retables, aux statues et décors finement ciselés : un travail de Maître ! Achevé en 1699, le retable de Prades rend hommage au saint patron de l’église : Saint-Pierre. De nombreuses statues figées dans l’instant et tableaux sculptés témoignent de la tradition religieuse. Observez les différences entre les anges à la trompette à mi-hauteur du retable : selon vous, que nous indiquent-ils ? Distinguez-vous les gallinacées qui semblent picorer les pieds des angelots ? Le coq étant le symbole de St Pierre.

D’après vous, en combien de temps l’artiste a-t-il fait ce retable ?

Commandé en 1696 et achevé en 1699, cela fait seulement moins de … 3 ans !

Ne repartez pas sans avoir visité le Trésor de l’église

Visite 3D

Office de Tourisme – Eglise

Balise I2

Trompe l'oeil

Trompe-l’œil Place de Catalogne

Qu’est-ce qu’un trompe-l’œil ?

Comme son nom l’indique, il modifie la perception du spectateur. L’œil est trompé et perçoit une illusion de 3D sur une surface plane.

Attention, peinture fraîche !

Alors nous y voilà devant cette œuvre magistrale, signée des établissements « A. Fresco » !

En un clin d’œil (trompé) nous bénéficions d’un panorama des personnalités et des symboles qui ont fait vibrer Prades et la font encore vibrer aujourd’hui.

Depuis son balcon, le célèbre sculpteur Gustave Violet (1873-1952) semble nous inviter à pénétrer dans son atelier. Représenté debout à côté de sa sculpture posée sur un chevalet, il a l’air de nous regarder droit dans les yeux ! Sur le même balcon, Pablo -Pau- Casals (1876-1973), le Maître en personne, nous interprète sur son violoncelle « El Cant Dels Ocells », « Le Chant des Oiseaux », cette fameuse berceuse catalane avec laquelle il avait pris l’habitude de terminer chacun de ses concerts, en hommage à la souffrance de son peuple. C’est à Prades qu’il choisit de s’exiler et de faire vœu de silence en signe de résistance à la dictature de Franco et au fascisme. C’est également à Prades qu’il brisa finalement ce vœu, à l’occasion du premier Festival de Prades dont il fut le principal initiateur, pour saluer le bicentenaire de la mort de Bach.

Au rez-de-chaussée, on trouve d’ailleurs une affiche du Festival, qui porte aujourd’hui son nom. A droite, est représentée la vitrine d’un luthier : reconnaissez-vous l’autoportrait de gauche ? Il s’agit de Martin Vivès, peintre roussillonnais, né à Prades en 1905 et qui est célébré à l’Espace Martin Vivès, petit musée situé en haut de la rue du Palais de Justice.

A droite, c’est au tour du Festival International des Ciné-Rencontres d’être mis à l’honneur, avec cette affiche de l’édition qui accueillit Jean-Pierre Darroussin et Michel Ciment. Et sur la porte d’entrée, « la Universitat Catalana d’Estiu », ou « Université Catalane d’Eté », annonce sa prochaine édition qui aura lieu comme chaque année la deuxième quinzaine d’août. A chaque édition, une foule de participants de Catalogne Nord (France) et de Catalogne Sud (Espagne) s’y retrouve pour des échanges transfrontaliers riches en ateliers, conférences et débats, au Château Vallroc de Prades, ville qui fut terre d’accueil et de trêve pour tant de réfugiés politiques !

Toujours au rez-de-chaussée, sentez-vous la chaleur qui émane de l’atelier, sur votre gauche ? C’est le souffle de la forge catalane. Maniant l’enclume et le marteau au milieu des relents brûlants, sous les soufflets géants, l’artisan forgeron aurait pu revêtir les atours de Vulcain, dieu du feu chez les Romains (Héphaïstos pour les Grecs). Il est représenté ici, en artisan d’aujourdhui, pour faire revivre cette tradition séculaire…

Attention, peinture fraîche ! Suite du parcours par ici :

Le trompe-l’oeil Rue de Châteaudun

Le trompe-l’oeil du bâtiment Chefdebien

Balise I3

Trompe l'oeil

Trompe-l’œil Place de Catalogne

Qu’est-ce qu’un trompe-l’œil ?

Comme son nom l’indique, il modifie la perception du spectateur. L’œil est trompé et perçoit une illusion de 3D sur une surface plane.

Attention, peinture fraîche !

Alors nous y voilà devant cette œuvre magistrale, signée des établissements « A. Fresco » !

En un clin d’œil (trompé) nous bénéficions d’un panorama des personnalités et des symboles qui ont fait vibrer Prades et la font encore vibrer aujourd’hui.

Depuis son balcon, le célèbre sculpteur Gustave Violet (1873-1952) semble nous inviter à pénétrer dans son atelier. Représenté debout à côté de sa sculpture posée sur un chevalet, il a l’air de nous regarder droit dans les yeux ! Sur le même balcon, Pablo -Pau- Casals (1876-1973), le Maître en personne, nous interprète sur son violoncelle « El Cant Dels Ocells », « Le Chant des Oiseaux », cette fameuse berceuse catalane avec laquelle il avait pris l’habitude de terminer chacun de ses concerts, en hommage à la souffrance de son peuple. C’est à Prades qu’il choisit de s’exiler et de faire vœu de silence en signe de résistance à la dictature de Franco et au fascisme. C’est également à Prades qu’il brisa finalement ce vœu, à l’occasion du premier Festival de Prades dont il fut le principal initiateur, pour saluer le bicentenaire de la mort de Bach.

Au rez-de-chaussée, on trouve d’ailleurs une affiche du Festival, qui porte aujourd’hui son nom. A droite, est représentée la vitrine d’un luthier : reconnaissez-vous l’autoportrait de gauche ? Il s’agit de Martin Vivès, peintre roussillonnais, né à Prades en 1905 et qui est célébré à l’Espace Martin Vivès, petit musée situé en haut de la rue du Palais de Justice.

A droite, c’est au tour du Festival International des Ciné-Rencontres d’être mis à l’honneur, avec cette affiche de l’édition qui accueillit Jean-Pierre Darroussin et Michel Ciment. Et sur la porte d’entrée, « la Universitat Catalana d’Estiu », ou « Université Catalane d’Eté », annonce sa prochaine édition qui aura lieu comme chaque année la deuxième quinzaine d’août. A chaque édition, une foule de participants de Catalogne Nord (France) et de Catalogne Sud (Espagne) s’y retrouve pour des échanges transfrontaliers riches en ateliers, conférences et débats, au Château Vallroc de Prades, ville qui fut terre d’accueil et de trêve pour tant de réfugiés politiques !

Toujours au rez-de-chaussée, sentez-vous la chaleur qui émane de l’atelier, sur votre gauche ? C’est le souffle de la forge catalane. Maniant l’enclume et le marteau au milieu des relents brûlants, sous les soufflets géants, l’artisan forgeron aurait pu revêtir les atours de Vulcain, dieu du feu chez les Romains (Héphaïstos pour les Grecs). Il est représenté ici, en artisan d’aujourdhui, pour faire revivre cette tradition séculaire…

Attention, peinture fraîche ! Suite du parcours par ici :

Le trompe-l’oeil Rue de Châteaudun

Le trompe-l’oeil du bâtiment Chefdebien

Balise I4

Trompe l'oeil

Le trompe-l’œil de la rue de Châteaudun

Attention, peinture fraîche !

Les établissements « A. Fresco » ont encore frappé… En 2017, les peintres ont fait un sort aux murs du parking de la rue de Châteaudun où se trouve la résidence baptisée « Léo Polge ».

Avec leurs pinceaux, ils ont ouvert des fenêtres dans ces murs aveugles. Saisissantes de réalisme, l’œil les survole d’abord, comme si elles étaient bien réelles. Il y a comme une harmonie qui se dégage de ce tableau : les artistes ont su préserver l’identité du lieu, en poussant le réalisme jusqu’à représenter le toit de tuiles et la gouttière. C’est à s’y méprendre. Dans un œil-de-bœuf, il y a même un pigeon, semblant prêt à prendre son envol. L’architecture est respectée avec le recours aux briquettes et la grande ouverture en voûte aux portes de bois massif, comme un témoignage du passé agraire de la ville, où les parties basses des maisons étaient réservées à l’activité agricole. C’est ainsi que le passé se mêle au présent avec ce tracteur Massey Ferguson hyperréaliste, garé sous les entrevous de briques en berceaux. Il côtoie une belle d’aujourd’hui, dont la figure semble penchée à sa fenêtre. On dirait qu’elle appelle la petite fille qui joue en bas avec son ours, sur le banc factice, lui aussi.

145 ans plus tôt, un autre peintre décorateur, Léo Polge, est venu à Prades réaliser toutes les peintures murales de l’église Saint-Pierre, qu’il a terminées en 1872 comme en atteste sa signature près du grand buffet d’orgue.

C’était un spécialiste de la peinture décorative, peinture de faux bois et de faux marbre. Ce trompe-l’œil sonne comme un hommage à cet artiste, qui fut le maître à penser de Joachim Eyt, l’un des artisans à l’origine des enduits sculptés, qui sont l’une des spécificités de Prades.

Qu’est-ce qu’un trompe-l’œil ?

Comme son nom l’indique, il modifie la perception du spectateur. L’œil est trompé et perçoit une illusion de 3D sur une surface plane.

Attention, peinture fraîche ! Suite du parcours par ici :

Le trompe-l’oeil Rue de Châteaudun

Le trompe-l’œil Place de Catalogne

Balise I5

Enduits sculptés

Levez les yeux !

Et découvrez l’une des spécificités de la ville de Prades : les enduits sculptés.

Dans les années 1920-1930, les artisans peintres et maçons de l’époque décident de créer « La solidarité Pradéenne », association qui a pour but d’embellir la ville.

Ce désir est né, avant tout, d’une amitié : celle de Gustave VIOLET (1873-1952) artiste issu de la famille bourgeoise qui possède les caves « Byrrh » de Thuir, et de Joachim EYT (1872-1948) peintre décorateur, fils d’un agriculteur de Prades.

Joachim EYT a grandi à la plaine Saint-Martin et lorsque Gustave VIOLET, de retour de Paris, y installe son atelier « Sant Martí », cet atelier devient le lieu de rencontres des artistes roussillonnais rencontrés à la capitale : MAILLOL, TERRUS… C’est tout naturellement qu’EYT se met à le fréquenter lui aussi et qu’une amitié commence à naître entre les 2 hommes. Elle leur fera même partager un voyage à Paris pour l’exposition universelle de 1900. A cette époque, l’Art nouveau est en vogue. Les façades de Prades semblent d’ailleurs témoigner du séjour d’EYT à Paris, d’où il aurait ramené le motif de la feuille de marronnier que l’on retrouve sur plusieurs frises de la ville.

En effet, Joachim EYT, artisan peintre a été l’un des promoteurs de cette technique décorative particulière, mais ce sont aussi des maçons tels qu’Isidore GOZE ou Antoine BLANC qui œuvrent à travers les quartiers bourgeois et populaires de la ville pour la réalisation et la diffusion de cette technique décorative. EYT se spécialise dans la décoration et ouvre un atelier de peinture en bâtiment au 17 rue Jean Jaurès.

Un point sur la technique 

Il s’agit d’un mélange à base de sable fin et de chaux hydraulique*, appliqué à la truelle et moulé, ou sculpté, aussitôt en place dans l’enduit frais. La coloration est réalisée dans la foulée, sur l’enduit humide, selon la technique de la fresque dite « a fresco ».

A la base, les motifs décoratifs seront d’inspiration géométrique, et imiteront parfois la pierre taillée. Ensuite apparaîtra un répertoire naïf de motifs décoratifs végétaux, uniques ou répétitifs. Certaines façades se verront dotées de motifs personnalisés, évoquant le nom ou l’activité du propriétaire, comme la vigne par exemple ou un troupeau de vache pour un agriculteur. Le mouvement des enduits sculptés s’est prolongé jusque dans les années 40. Les styles décoratifs évolueront de l’Art nouveau à l’Art déco.

*La chaux est très utilisée dans la maçonnerie. Ce matériau ancien est plus que jamais à la mode dans la construction écologique. L’utilisation de la chaux hydraulique remonte depuis l’Antiquité. C’est une chaux naturelle, issue de la cuisson du calcaire et de l’argile. Comme son nom l’indique, la chaux hydraulique nécessite d’abord de l’eau pour sa prise, puis de l’air.

Office de Tourisme – Visites guidées de la Ville

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Balise I6

MEDIATHEQUE

Fan de « Bakuman » ou de « Hunter X Hunter » ? Au rayon mangas, vous trouverez aussi « Naruto », « One Punch Man » ou encore « Dreamland » !

Où ça ? A la médiathèque de Prades !

Pour atteindre l’espace ado, il suffit de traverser la galerie d’exposition, consacrée aux artistes locaux, puis passer la banque d’accueil, et c’est à gauche toute. Il y a aussi la section B.D. où vous trouverez des incontournables comme « SEULs », « Zombillenium » ou « Soda », « Tamara » ou encore « Ms Marvel ». Et sans oublier les romans ados : « Geek Girl », « Celle que je ne suis pas » mais aussi les docus comme « Nail Art ».

Venez jouer avec nous !

Saurez-vous résoudre les énigmes de la prochaine animation grandeur nature organisée par l’équipe de la médiathèque ? Gardez l’œil grand ouvert pour ne pas rater la prochaine Murder Party, ou le prochain Escape Game…

Qui s’en sortira à temps ?

D’autres jeux et ateliers sont proposés régulièrement. Animés par des intervenants extérieurs : ateliers d’écriture, de découverte musicale pour les tout-petits… ou par l’équipe de la médiathèque : ateliers de création manuelle ou bien encore lecture de Kamishibaïs…

Et le « Kamishibaï », c’est quoi ?

Kamishibaï signifie littéralement « Théâtre de Papier ». C’est une technique de contage japonais, basée sur des illustrations que le conteur fait défiler dans un butaï (théâtre en bois) équipé de petits ouvrants. Venez partager ces instants de magie en famille, seul ou entre amis. Ces petits trésors sont à destination des plus petits…mais aussi des plus grands !

La médiathèque intercommunale de Prades vous accueille du mardi au samedi au 33 rue de l’hospice. L’ensemble de la médiathèque est accessible aux personnes à mobilité réduite.

Et c’est gratuit ! Pour toute personne résidant sur le territoire de la communauté de communes Conflent Canigó mais aussi pour les enfants et les demandeurs d’emploi ou bénéficiaires du R.S.A. Tu peux consulter sur place et faire tes recherches dans l’espace documentaire.

Et je peux emprunter ?

Oui, des B.D, des magazines, des CD, des DVD… !

Comment je fais ?

Il suffit de s’inscrire à la banque d’accueil. L’agente vous confectionnera une carte nominative. Gratuite elle aussi, vous devrez simplement la présenter à chaque emprunt.

Lien Médiathèque

Lien Mediatek66

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SAINT PIERRE

1, 2 et 3 Juillet à Prades !

Célébrez avec les habitants de Prades, la fête du saint patron de la ville, Saint Pierre. Pour cette occasion la ville devient Sang et Or.

Pendant 3 jours venez découvrir les traditions catalanes comme les Castellers (tours humaine).

Concerts, déambulation, jeux et activités pour les enfants.

Restauration et buvette sur place.

Organisée par l’association festes de Sant Pere et la Municipalité de Prades.

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SECOURS CATHOLIQUE

1946, la France vient d’être dévastée par la guerre.Beaucoup de familles sont en situation très difficile. A la demande de l’Eglise de France, monseigneur Rodhain, aumônier des prisonniers de guerre,avec l’aide de ces derniers,va fédérer en une seule association nationale les équipes catholiques locales qui oeuvrent pour aider les plus démunis. Le Secours Catholique venait de naître.

Nous accueillons toutes les personnes, sans distinction de races, sexe , religion ou appartenance politique. 

1000 salariés et 70000 bénévoles travaillent en France et DOM-TOM pour soutenir les plus faibles (aides matérielles, financières, administratives, professionnelles, retour à la dignité, accompagnements, internationales….).

Nous souhaitons un autre monde permettant à chacun d’exister dignement. Notre slogan : La Révolution Fraternelle.

Le Secours Catholique est membre du réseau international Caritas Internationalis.

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Balise I9

SALLE GELCEN

Do It Yourself ! Fais-le toi-même !

Vous avez toujours rêvé de vous essayer à la poterie sans jamais oser passer le pas ? C’est par ici que ça se passe ! La couture, ça vous parle mais vous ne savez pas par où commencer ? Vous êtes à la bonne adresse ! Poussez la porte en bois et venez découvrir la maison Gelcen et ses 4 salles disposées au rez-de-chaussée, ainsi que sa salle d’exposition. Ici, ce sont 6 associations qui ont investi les lieux : les Amis des arts plastiques, la Peinture sur soie, Passion Point de croix, l’Atelier couture, ou bien encore l’atelier Sculpture Modelage Moulage, qui propose des initiations au tour de potier. En plus, l’endroit mérite le détour, avec son cachet ancien : voûtes, murs de pierre, fer forgé et patios conservés dans le goût d’antan.

Bon à savoir : L’entrée principale se fait par le parking « Gelcen » situé rue de la Basse. La salle d’expo est accessible aux personnes à mobilité réduite – comme l’ensemble du bâtiment d’ailleurs.

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Le patrimoine est accessible à tous !!!